La lecture de ce livre m’a amené à découvrir les méandres qui jalonnent le parcours sentimental d’une femme décidée à aimer avec toute sa vulnérabilité et à saisir l’amour qui lui est donné avec toutes ses interrogations.
J’ai apprécié.
Bravo pour cette écriture fort bien menée !
Aniskinedit :
La générosité des femmes et l’affirmation de leur indépendance compatibles cependant ne sont pas toujours acceptées par tous les hommes, Jeanne à travers sa relation nous le démontre à travers des réflexions et analyses qui mettent en lumière un pervers narcissique. J’ai aimé cette femme dynamique qui avance, fait ses choix malgré le doute qui la hante et torture son esprit, elle avance déterminée à se réaliser et accepter ses décisions bonnes ou mauvaises mais ce sont ses choix, profiter pleinement de la vie et ses plaisirs amoureux dans le respect de chacun. L’amour se trouve quelquefois sur des sentiers inattendus… Un roman positif qui fait aimer la vie. Bravo Marie Tisserand !
BRIENTdit :
Lorsque j’ai terminé la lecture de Square Saint Amour, j’ai eu envie de me replonger dans « L’insoutenable légèreté de l’être » de Milan Kundera. Comme les deux héroïnes de l’auteur tchèque, Tereza et Sabina, Jeanne est un personnage-miroir pour la lectrice (et pour le lecteur curieux de l’âme féminine).
Elle aborde la vie et le temps qui passe avec une gourmandise et un optimisme teintés de nostalgie ; pas de remords ni de regrets chez elle, ce qui engendrerait mélancolie et déprime. Jeanne se cherche. Elle peine à oublier le bonheur enfui sans fermer la porte à celui qui pourrait se présenter.
Comment ne pas être en empathie avec Jeanne, avoir envie de lui souffler que celui-ci n’est qu’un pervers narcissique, celui-là un tremplin pour une nouvelle féminité, quand l’âme et le corps sont blessés par la vie, par le temps qui passe.
Avec ce premier roman à l’écriture moderne, fluide et pleine de vivacité, Marie Tisserand dessine avec élégance le portrait d’une femme d’aujourd’hui.
Ah, j’oubliais… j’ai beaucoup aimé ce livre 😉
GUILLEMINdit :
Dans quelle mesure nos vies amoureuses modifient le cours de notre vie et le rapport à notre propre image et à la confiance en soi.
L’auto fiction semble la formule idéale pour se raconter tout en prenant du recul sur les événements afin de ne pas reproduire les erreurs du passé.
Jeanne nous entraîne dans le tourbillon de ses vies amoureuses successives qui commencent par la violence d’un deuil.
La fragilité de ce deuil la pousse t elle ensuite vers une situation de soumission et d’emprise ? sous le charme ambigu d’un pygmalion dont elle aura du mal à s’arracher dans les bras d’un Philippe plus attentionné et fortuitement instrument d’une libération opportune.
Mais la révélation viendra d’une rencontre inattendue avec celui qui sera l’antithèse de tous les précédents . Elle retrouvera alors le souffle d’une liberté existentielle.
Toute la question est de savoir si le coup de foudre est l’histoire pré écrite de deux êtres qui devaient se rencontrer (un jour tu verras, on se rencontrera…) ou la projection d’un fantasme sur un mirage, ou encore le réchauffement de deux solitudes désemparées …
Dessaillendit :
J’ai bien aimé ce roman, écrit à la fois dans un style simple et soigné. Je me suis laissé guider sur les pas de Jeanne, la narratrice. On voit se dessiner peu à peu ce parcours de femme en quête d’un besoin de vivre intensément. Le personnage, fragile, est touchant par ses errances et son besoin viscéral de s’affirmer, de s’ouvrir à la vie, d’aimer.
Rose Ribeyredit :
Un très beau roman, sur la reconstruction d’une femme après un deuil, à travers ses rencontres amoureuses. Une belle rencontre, une belle histoire, entre Jeanne et Clovis, un jeune SDF.
Un roman très bien écrit, qui nous transporte dans l’univers de Jeanne et nous fait avancer à ses côtés. Merci, Marie Tisserand, pour ce beau roman qui (re)donne foi en l’amour.
La lecture de ce livre m’a amené à découvrir les méandres qui jalonnent le parcours sentimental d’une femme décidée à aimer avec toute sa vulnérabilité et à saisir l’amour qui lui est donné avec toutes ses interrogations.
J’ai apprécié.
Bravo pour cette écriture fort bien menée !
La générosité des femmes et l’affirmation de leur indépendance compatibles cependant ne sont pas toujours acceptées par tous les hommes, Jeanne à travers sa relation nous le démontre à travers des réflexions et analyses qui mettent en lumière un pervers narcissique. J’ai aimé cette femme dynamique qui avance, fait ses choix malgré le doute qui la hante et torture son esprit, elle avance déterminée à se réaliser et accepter ses décisions bonnes ou mauvaises mais ce sont ses choix, profiter pleinement de la vie et ses plaisirs amoureux dans le respect de chacun. L’amour se trouve quelquefois sur des sentiers inattendus… Un roman positif qui fait aimer la vie. Bravo Marie Tisserand !
Lorsque j’ai terminé la lecture de Square Saint Amour, j’ai eu envie de me replonger dans « L’insoutenable légèreté de l’être » de Milan Kundera. Comme les deux héroïnes de l’auteur tchèque, Tereza et Sabina, Jeanne est un personnage-miroir pour la lectrice (et pour le lecteur curieux de l’âme féminine).
Elle aborde la vie et le temps qui passe avec une gourmandise et un optimisme teintés de nostalgie ; pas de remords ni de regrets chez elle, ce qui engendrerait mélancolie et déprime. Jeanne se cherche. Elle peine à oublier le bonheur enfui sans fermer la porte à celui qui pourrait se présenter.
Comment ne pas être en empathie avec Jeanne, avoir envie de lui souffler que celui-ci n’est qu’un pervers narcissique, celui-là un tremplin pour une nouvelle féminité, quand l’âme et le corps sont blessés par la vie, par le temps qui passe.
Avec ce premier roman à l’écriture moderne, fluide et pleine de vivacité, Marie Tisserand dessine avec élégance le portrait d’une femme d’aujourd’hui.
Ah, j’oubliais… j’ai beaucoup aimé ce livre 😉
Dans quelle mesure nos vies amoureuses modifient le cours de notre vie et le rapport à notre propre image et à la confiance en soi.
L’auto fiction semble la formule idéale pour se raconter tout en prenant du recul sur les événements afin de ne pas reproduire les erreurs du passé.
Jeanne nous entraîne dans le tourbillon de ses vies amoureuses successives qui commencent par la violence d’un deuil.
La fragilité de ce deuil la pousse t elle ensuite vers une situation de soumission et d’emprise ? sous le charme ambigu d’un pygmalion dont elle aura du mal à s’arracher dans les bras d’un Philippe plus attentionné et fortuitement instrument d’une libération opportune.
Mais la révélation viendra d’une rencontre inattendue avec celui qui sera l’antithèse de tous les précédents . Elle retrouvera alors le souffle d’une liberté existentielle.
Toute la question est de savoir si le coup de foudre est l’histoire pré écrite de deux êtres qui devaient se rencontrer (un jour tu verras, on se rencontrera…) ou la projection d’un fantasme sur un mirage, ou encore le réchauffement de deux solitudes désemparées …
J’ai bien aimé ce roman, écrit à la fois dans un style simple et soigné. Je me suis laissé guider sur les pas de Jeanne, la narratrice. On voit se dessiner peu à peu ce parcours de femme en quête d’un besoin de vivre intensément. Le personnage, fragile, est touchant par ses errances et son besoin viscéral de s’affirmer, de s’ouvrir à la vie, d’aimer.
Un très beau roman, sur la reconstruction d’une femme après un deuil, à travers ses rencontres amoureuses. Une belle rencontre, une belle histoire, entre Jeanne et Clovis, un jeune SDF.
Un roman très bien écrit, qui nous transporte dans l’univers de Jeanne et nous fait avancer à ses côtés. Merci, Marie Tisserand, pour ce beau roman qui (re)donne foi en l’amour.